terça-feira, 3 de novembro de 2015

Derniérre Danse

Et, encore une fois, je vais essayer de mettre en place une nouvelle langue ... Ecrire, écrire, jusqu'à ce que les mots ne sont pas traduits. Mon monde a cette condition perpétuelle d'être entre les mots et l'air, et l'eau salée, et souvent aussi doux, mais je suis fait de terre. Et tout au long de Lisbonne, je serai. Et autour du Port, je me renaîtrai. Et dans tout Paris, je m'abandonne/ Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole. Mais dans toutes les latitudes et le cultures mon signe est une terre-matière (peut-être quand il pleut). Maintenant, il est Novembre, l'eau en font une odeur de son propre. Raviser cette question peut être très intéressant. Sûrement, il ya d'autres histoires à des enfants. Il y avait quelqu'un qui a dit: «Maman, les petit bateaux sur l'eau, ont ils des jambes?" et aprés elle a dit.


| Pt |

E, mais uma vez, vou tentar estabelecer um novo idioma... Escrever, escrever, até que as palavras não se traduzam. O meu mundo tem esta condição perpétua de ser entre palavras e ar, e água salgada, e, muitas vezes, também doce, mas eu sou feita de terra. E em toda a Lisboa, eu cresço. E em todo o Porto, renasço. E em toda a Paris, eu me rendo/ E eu voo, voo, voo, voo, voo, voo. Mas em qualquer cultura e latitude o meu signo é de uma terra-matéria (às vezes barrenta, quando chove). Agora que é Novembro, a água fá-la de um cheiro só dela. Pensar melhor nisto pode ser muito interessante. Talvez, haja mais histórias dentro das crianças. Como houve alguém que disse: «Mamã, os barquinhos sob a água têm pernas?» e ela depois respondeu.